Le discours des principaux théoriciens converge vers une définition précise d’un commun. Ce courant de pensées agrège des organisations aux démarches innovantes. Deux sujets largement abordés par Pierre Thomé lors de l’assemblée de Novembre.
Un commun, c’est une ressource, une organisation et un cadre juridique
Pierre Thomé, auteur du livre « (biens) communs quel avenir ? : un enjeu pour l’économie sociale et solidaire » était l’invité de l’assemblée de Novembre. Pour lui, un commun se définit à travers :
- la ressource qu’il prend en compte
- les règles qui en définissent l’usage
- l’institutionnalisation de ces règles dans des statuts
Pour avoir un écho de l’intervention, vous pouvez écouter le podcast réalisé par Pierre Thomé avec la radio associative Plum’, quelques jours avant l’événement.
Cette approche doit être, à mon avis, prise en compte pour les tests de documentation proposés lors de l’assemblée d’Octobre.
Les communs, un champ composé d’organisations innovantes
Pierre Thomé est un « commun en lui-même » et d’ailleurs participe à un ensemble de structures qui caractérise ce secteur, l’occasion d’échanger sur :
- Terre de liens
- la Nef
- Enercoop
- Les Sociétés Coopératives d’Intérêt Collectif qui constituent un enjeu fort pour le conférencier-auteur
- …
Pierre-Yves Jean , discutant de Pierre Thomé, lors de cette rencontre a également cité des exemples intéressants liés à l’habitat.
Merci encore à l’association Bug et à RésoSolidaire, le pôle de développement de l’ESS à Rennes, pour l’aide à l’organisation de la conférence.
à propos de l’article https://rennesencommuns.wordpress.com/2016/12/18/commun/ deux remarques:
dans l’énoncé des composantes d’un commun il manque le collectif, celui qui rassemble les citoyens et citoyennes à l’origine du FAIRE ensemble.
Par ailleurs il est dit que Pierre Thomé est à lui seul un commun, ce qui est trop dire, en fait il participe simplement à plusieurs communs !
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